The Privatized State shows how privatization undermines the very reason political institutions exist in the first place, and advocates for a new way of administering public affairs that is more democratic and just.

This self-paced free course by Perry Merhling guides you to his "Money View" approach that integrates the fields of economics and finance. The course can easily be understood by people interested people without technical economic knowledge or training as it is primarily a tool for analysis.

Adam Smith's The Wealth of Nations provided the first, most influential and lasting explanation of the workings of modern economics. But with his focus on "the market" as the best mechanism for producing and distributing the necessities of life, Smith's concepts only told part of the story, leading to flawed economic models that devalue activities that fall outside of the market's parameters of buying and selling.

In this sharp intervention, authors Lucí Cavallero and Verónica Gago defiantly develop a feminist understanding of debt, showing its impact on women and members of the LGBTQ+ community and examining the relationship between debt and social reproduction.

"The Company of Strangers: A Natural History of Economic Life" by Paul Seabright is an engaging and informative book that explores the complex relationship between economic behavior and human instincts. Seabright uses real-world examples to present complex ideas in a clear and accessible way. The author argues that the market is not only a place for exchanging goods and services but also relies on trust, cooperation, and social norms.

Gender, Development, and Globalization is the leading primer on global feminist economics and development. Lourdes Benería, a pioneer in the field of feminist economics, is joined in this second edition by Gunseli Berik and Maria Floro to update the text to reflect the major theoretical, empirical, and methodological contributions and global developments in the last decade.

The Revolution in Corporate Finance has established itself as a key text for students of corporate finance with wide use on a range of courses. Using seminal articles from the highly regarded Bank of America Journal of Applied Corporate Finance, it gives students real insight into the practical implications of the most recent theoretical advances in the field.

This fresh and unique textbook provides students and general readers with an introduction to economics from a new and much needed perspective, characterised by its uniquely pluralist, sustainable, progressive and global approach. Unlike traditional textbooks, Introducing a New Economics contains the key concepts of pluralism, sustainability and justice. It provides students with the central questions covered by economics including resources, work, employment, poverty, inequality, power, capital, markets, money, debt and value.

One of the most authoritative authors on the intellectual heritage of John Maynard Keynes, Robert Skidelsky draws a sketch of the great man's economic thinking both accessible and insightful.

This book provides a new methodological approach to money and macroeconomics. Realizing that the abstract equilibrium models lacked descriptions of fundamental issues of a modern monetary economy, the focus of this book lies on the (stylized) balance sheets of the main actors. Money, after all, is born on the balance sheets of the central bank or commercial bank.

This book presents recent thought on market efficiency, using a complex systems approach to move past equilibrium models and quantify the actual efficiency of markets.

Les post-keynésiens se focalisent sur l’analyse des économies capitalistes, vues comme des systèmes certes hautement productifs mais aussi instables et conflictuels. L‘activité économique y est pour eux déterminée par la demande effective, qui est typiquement insuffisante pour permettre d’atteindre le plein emploi et la pleine utilisation des capacités de production.

Au début des années 2020, le consensus de la Silicon Valley se délite. Inégalités folles, stagnation de la productivité, instabilité endémique... la nouvelle économie n’est pas advenue. Les algorithmes sont omniprésents, mais ce n’est pas pour autant que le capitalisme s’est civilisé. Au contraire. La thèse de ce livre est qu’avec la digitalisation du monde se produit une grande régression. Retour des monopoles, dépendance des sujets aux plateformes, brouillage de la distinction entre l’économique et le politique

Le libéralisme allemand qui est au cœur de la construction européenne porte le nom d’ordolibéralisme. C’est une voie à mi-chemin entre le capitalisme à l’anglo-saxonne, qu’on considère en général comme le plus proche de l’orthodoxie classique, de l’ultra-libéralisme, et un capitalisme keynésien plutôt orienté vers des politiques de la demande. Cependant, l'ordolibéralisme allemand demeure une forme de néolibéralisme. L'idée de l'épisode est de décrire un courant de pensée qui tient plus de l’idéologie ou de l’opinion politique que de la science. En effet, l’ordolibéralisme, comme de nombreux autres courants de pensés en économie, propose des hypothèses plausibles, potentiellement justes, mais non vérifiées voire non vérifiables ainsi qu’une version simplifiée de la mécanique économique qui ne colle pas toujours avec la réalité. La description de la pensée ordolibérale permet de comprendre pourquoi la Zone Euro est organisée d'une manière si spécifique : Pourquoi la banque centrale européenne est-elle indépendante ? Pourquoi celle-ci ne peut-elle pas financer des états ? Pourquoi doit-elle se concentrer uniquement sur des problématiques d'inflation ? Pourquoi la commission européenne insiste-t-elle tant sur le rôle de la concurrence ? Pourquoi le budget des états ne doit pas dépasser un déficit de 3% du PIB ?

Alors que l'idée d'un revenu de base commence à faire son chemin, et si on en profitait pour essayer d'aller encore plus loin dans la critique du marché du travail? Et si on essayait carrément de penser contre le capitalisme? D'ailleurs, si on sortait du capitalisme, on mettrait quoi à la place?

Dans son dernier livre Les capitalismes à l épreuve de la pandémie 2020 Robert Boyer tente d analyser l histoire en temps réel les capitalismes face au covid19 Que nous apprend l épidémie de covid19 de nos régimes socio économiques Quelles mesures les différents pays ont ils mises en place …

L'auteur interroge la compatibilité entre le système capitaliste avec les limites et frontières écologiques.

Dans cette contribution, nous examinons la relation sociale à l’énergie au sein du régime d’accumulation fordiste et du capitalisme financiarisé et mondialisé qui s’est mis en place depuis les années 1970. L’objectif est d’identifier des ruptures dans les modalités d’usage de l’énergie qui accompagnent les transformations observées dans d’autres domaines. Pour cela, nous procédons à une analyse empirique et comparatiste de l’utilisation de l’énergie dans les principales économies à haut revenu (Allemagne, États-Unis, France, Japon et Royaume-Uni) entre 1950 et 2010. Le fordisme se caractérise par une utilisation extensive de l’énergie et une utilisation intensive du travail. Les forts gains de productivité de ce dernier sont alimentés notamment par une augmentation rapide de la quantité d’énergie incorporée au processus de production. À partir de 1970, le ralentissement de la croissance de la quantité d’énergie coïncide avec le ralentissement de la productivité du travail et contribue à l’érosion du compromis social fordiste. L’émergence du néolibéralisme se traduit par une restauration de la part du capital dans le partage de la valeur ajoutée et s’accompagne, d’une part, d’une utilisation de plus en plus intensive de l’énergie, la productivité de celle-ci se mettant à augmenter fortement dans les principaux pays à haut revenu ; d’autre part, par la délocalisation de l’utilisation de l’énergie.

The course will teach students to analyze the goals, implementation, and outcomes of economic policy.

Qu'est-ce qui explique la crise d'un modèle comme les Trente Glorieuses ? Quel type de capitalisme est en train de se mettre en place aujourd'hui ? Comment nos systèmes économiques évoluent-ils ? Combinant histoire, économie et politique, ce manuel de Robert Boyer introduit à la théorie de la régulation.

écologie et accumulation du capital La 4ème de couverture indique Livre manifeste du courant de l écologie monde Le Capitalisme dans la toile de la vie se propose de dépasser les insuffisances réciproques des pensées écologistes et marxistes pour ouvrir la voie à une nouvelle synthèse critique et dialectique qui …

L’économie évolutionniste se focalise sur le changement économique. En conséquence, sont analysés des processus de changement tels que la croissance, l’innovation, le changement technologique et structurel, ou encore le développement économique en général. L’accent est mis sur les populations et les (sous-)systèmes.

How has financialisation changed saving What are its implications on a macro economic level and from a welfare state perspective Craig Berry I PEEL

Deforestation is estimated to be responsible for about 12-29% of global greenhouse gas emissions. This essay will explore ecological economics as an alternative lens through which to approach forest conservation and the acceleration of climate change.

asds

A travers le regard de Karl Polanyi, Corrine Vercher-Chaptal nous offre son analyse du monde des plateformes alternatives.

Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent.

Ce court ouvrage explique brièvement les principaux développement de l histoire de la pensée économique Jacques Valier commence avec la Grèce ancienne pour finir par les théories développées après la seconde guerre mondiale et présente les caractéristiques essentiels des principaux courants économiques Au programme de ce livre Les interrogations morales …

Özlem Onaran analyses the current problems of secular stagnation from a global perspective. At the core of global economic problems is insufficient demand caused by falling wage shares, because most individual countries, and the world as a whole are “wage-led”. Hence a strategy for global growth is to aim at increasing wages and thus the wage share, and the abandonment of policies focusing purely on national competitiveness. Financialization has broken the link between corporate profitability and investment. Reregulation of finance and higher public investment is required in order to crowd in private investment, in this way, reversing the declining trend of potential output growth.

In this paper the main developments in post-Keynesian macroeconomics since the mid- 1990s will be reviewed. For this purpose the main differences between heterodox economics in general, including post-Keynesian economics, and orthodox economics will be reiterated and an overview over the strands of post-Keynesian economics, their commonalities and developments since the 1930s will be outlined. This will provide the grounds for touching upon three important areas of development and progress of post-Keynesian macroeconomics since the mid-1990s: first, the integration of distribution issues and distributional conflict into short- and long-run macroeconomics, both in theoretical and in empirical/applied works; second, the integrated analysis of money, finance and macroeconomics and its application to changing institutional and historical circumstances, like the process of financialisation; and third, the development of full-blown macroeconomic models, providing alternatives to the mainstream 'New Consensus Model' (NCM), and allowing to derive a full macroeconomic policy mix as a more convincing alternative to the one implied and proposed by the mainstream NCM, which has desperately failed in the face of the recent crises.

Dans cet épisode, nous nous posons la question du rôle de la monnaie dans une économie capitaliste. Pour cela, nous comparons le fonctionnement de deux économies en apparence identique, à ceci près que la première fonctionne sans monnaie, comme une économie de troc, et la seconde est monétaire. Nous nous apercevons alors que le caractère monétaire ou non d’une économie modifie radicalement ses propriétés. La détermination des profits sera ainsi très différente dans ces deux économies, les relations de causalité entre dépôts et crédits, épargne et investissement s’inversent, une crise de surproduction est possible dans un cas mais pas dans l’autre, et le chômage peut également avoir des origines très différentes, et même opposées, selon que l’on considère une économie monétaire ou non. Les propriétés de l’économie de troc recouvrent celles de la théorie économique standard (théorie néoclassique) qui s’est historiquement construite sans prendre en considération la monnaie, celle-ci étant considérée comme neutre sur l’économie. Les propriétés de l’économie monétaire rappellent quant à elles celles des modèles postkeynésiens, bien moins connus, et qui trouvent leurs origines dans les travaux et écrits de Keynes, qui affirmait dans son ouvrage le plus célèbre (la théorie générale de l’emploi de l’intérêt et de la monnaie) que « lorsqu’on s’attaque à la recherche des facteurs qui déterminent les volumes globaux de la production et de l’emploi, la Théorie complète d’une Economie Monétaire devient indispensable » (1936, p. 297). Pour approfondir le fonctionnement d’une économie monétaire, vous pouvez lire le livre de Laurent Cordonnier, maître de conférences à l’Université de Lille, « L’économie des Toambapiks » qui présente à partir d’une « fable » la loi des profits de Kalecki dont nous parlons dans la vidéo. Le livre se lit très facilement.

La « décroissance » est-elle souhaitable ? Interview avec Eloi Laurent, économiste, conseiller scientifique à l'OFCE, maître de conférences à Sciences-Po et auteur de “ Sortir de la croissance : mode d’emploi “ (Les Liens qui Libérent, 2019).