Deliberate Misunderstandings in Economics: What Pluralism Really Means

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This course will introduce key concepts, theories and methods from socioeconomics. The first part of the course, will deal with the main economic actors and how their interactions are governed. Markets are seen as sets of social institutions. Institutions shape how consumers, firms and other economic actors behave. While it is difficult to understand how novelty emerges, we can study the conditions that are conducive to innovation. We will review how economic performance, social progress and human wellbeing are measured and what progress has been made. In the second part of the course, we will study a specific macroeconomic model that accounts for biophysical boundaries and inequality.

First the emergence of the Austrian school is described regarding the historical context and other schools of thought that were presence at its inception. Emphasis is given to the methodological differences and disputes that members of the Austrian schools had with representatives of the German historical school. Then some defining theoretical and methodological features of the Austrian school are explained. Later, Friedrun Quaas gives an overview of the different generations of scholars associated with the school and their theories, research questions and concepts. Against the background of this knowledge the question as to whether the question as to whether the Austrian school is sufficiently homogenous to denote a consistent paradigm is discussed. At the end, some general, philosophy of science oriented, questions concerning pluralism in the social sciences are posed.

À travers les réflexions et les analyses de plusieurs intellectuels de renom, ce documentaire trace un portrait de l’idéologie néolibérale et examine les différents mécanismes mis à l’oeuvre pour en imposer mondialement les diktats. Déréglementer, réduire la taille de l’État, privatiser, limiter l’inflation plutôt que le chômage, bref, financiariser et dépolitiser l’économie : les différents dogmes de cette pensée prêt-à-porter sont bien connus. Et s’ils s’immiscent lentement dans nos consciences c’est qu’ils sont diffusés à travers un vaste et inextricable réseau de propagande. De fait, depuis la fondation de la Société du Mont Pèlerin, en 1947, les instituts de recherche néolibéraux, ces think tanks financés par des transnationales et des grandes fortunes, propagent inlassablement la pensée néolibérale au sein des universités, dans les médias, auprès des parlementaires, etc. Cette idéologie qui s’affiche évidence, forte de la sanction historique et scientifique que semble lui avoir conférée la chute de l’URSS, a su intoxiquer tous les gouvernements, de gauche comme de droite. En effet, depuis la fin de la Guerre Froide, le rythme des réformes néolibérales est allé sans cesse s’accentuant. Souvent imposée par la force, que ce soit à travers les plans d’ajustements structurels du FMI et de la Banque Mondiale, sous la pression des marchés financiers et des transnationales ou même par la guerre, la doctrine néolibérale s’étend dorénavant à la planète entière. Mais derrière l’écran de fumée idéologique, derrière ces beaux concepts d’ordre spontané et d’harmonie des intérêts dans un libre marché, par-delà la panacée de la «main invisible», que se cache-t-il réellement ?