Complexity economics focuses on interactions and interdependencies between individuals and structures in economic systems. Those are systems of organised complexity. High importance is given to the analysis of networks.

The core idea of ecological economics is that human economic activity is bound by absolute limits. Interactions between the economy, society and the environment are analysed, while always keeping in mind the goal of a transition towards sustainability.

L’idée fondamentale de l’économie écologique est que l’activité économique humaine est contrainte par des limites absolues. L’analyse porte sur les interactions entre l’économie, la société et l’environnement, avec pour objectif ultime la durabilité.

L’économie comportementale se dédie à l’observation du comportement humain et en particulier à celle du comportement de décision économique.

L’économie de la complexité se focalise sur les interactions et les interdépendances entre les individus et les structures dans les systèmes économiques. L‘économie est vue comme un système complexe qui est toujours dans un état de flux, c‘est-à-dire évoluant et changeant en permanence.

Les post-keynésiens se focalisent sur l’analyse des économies capitalistes, vues comme des systèmes certes hautement productifs mais aussi instables et conflictuels. L‘activité économique y est pour eux déterminée par la demande effective, qui est typiquement insuffisante pour permettre d’atteindre le plein emploi et la pleine utilisation des capacités de production.

This article outlines the fundamental challenges of democratically planned economies and categorises proposed models into six groups, each of which approaches planning and coordination at different levels of authority and between myriad economic units in a particular way, taking into account efficiency as well as democratic principles and environmental and social sustainability. Through a classification system based on decision-making authority and mediation mechanisms, the article provides a framework for understanding and comparing these models. By examining their different approaches, it offers insights into the complexities and potential paths of democratically planned economies in the 21st century.