35 results
The page "Positive Money" gathers text and short videos which explain how money is created by banks by giving loans. It furthermore presents the consequences of this process on housing prices, inequality and the environment and its role in the financial crisis. The dossier is provided by the campaign "Positive Money" which aims at a democratic control over money creation. Besides texts by the campaign, the page makes available links to journal and conference articles on the topic. The page focuses on the banking system of the UK.
Maria Nikolaidi on how Minsky’s theory has been modelled over past decades and how one can use these models in order to analyse contemporary issues such as financial fragility and financial instability caused by climate change.
This talk was given at a local TEDx event, produced independently of the TED Conferences. Economic theory is centuries out of date and that's a disaster for ...
Robert Costanza briefly present various methods of environmental valuation, and talks about the changes in the global value of ecosystem services. He then introduces the major ecosystem services, and how different methods of valuation affect the preferred policies to address environmental issues.
Towards a post-work future: a necessary agenda to reconcile feminist & ecological concerns with work
In this essay the author outlines the basis for embracing a post-work agenda, rooted in an emancipatory potential from the domination of waged work, which could help answer both feminist and ecological concerns with work.
Ce podcast présente l’incompatibilité entre notre modèle économique et l’exigence écologique. « Comment affronter sérieusement les désordres de la planète si l’on s’évertue à réanimer un modèle économique qui en est la cause » ? s’est exclamé Gaël Giraud (chef économiste de l’Agence Française de Développement). La question de l'équation entre les impératifs économiques de court terme (croissance, emploi) et les exigences planétaires de long terme (l'avenir de notre monde) semble toujours irrésolue.
Faut-il donner un prix à la nature pour la protéger des impacts de l’activité humaine ? L'économiste écologique Aurore Lalucq revient sur cette question fondamentale et distingue monétarisation, marchandisation et financiarisation. Selon elle, ces trois concepts prennent place dans des situations totalement différentes et ne suivent pas les mêmes logiques.
L'Observatoire régional de l'environnement (ORE) expose les instruments économiques que nous avons à disposition pour faire face à la gravité des problèmes environnementaux (réchauffement climatique, stress
hydrique, pollution des eaux continentales et marines, érosion de la biodiversité).
On apprend quels sont les enjeux à mettre un prix à la nature (pollution, biodiversité...) et quels sont les avantages et inconvénients de chaque mesure mise en place par l'État pour agir pour une transition écologique durable. Enfin, il propose différentes méthodes qui pourraient améliorer notre approche à inclure notre environnement dans notre système économique en prenant des cas concrets (eau potable, prix du carbone...)
Économie de l’environnement, des ressources naturelles, du développement durable, green economics, sustainability science, bioéconomie, écodéveloppement : nombreux sont les disciplines et les concepts qui croisent considérations environnementales et économiques. On revient ici sur l’économie écologique, qui a réussi à investir le champ académique et à démultiplier les débats.
Conférence de Gaël Plumecocq (INRA) sur l'économie écologique, ses fondements, auteurs et projets. Il est l'auteur d'une introduction à cette école de pensée aux éditions La Découverte.
Dans cette contribution, nous examinons la relation sociale à l’énergie au sein du régime d’accumulation fordiste et du capitalisme financiarisé et mondialisé qui s’est mis en place depuis les années 1970. L’objectif est d’identifier des ruptures dans les modalités d’usage de l’énergie qui accompagnent les transformations observées dans d’autres domaines. Pour cela, nous procédons à une analyse empirique et comparatiste de l’utilisation de l’énergie dans les principales économies à haut revenu (Allemagne, États-Unis, France, Japon et Royaume-Uni) entre 1950 et 2010. Le fordisme se caractérise par une utilisation extensive de l’énergie et une utilisation intensive du travail. Les forts gains de productivité de ce dernier sont alimentés notamment par une augmentation rapide de la quantité d’énergie incorporée au processus de production. À partir de 1970, le ralentissement de la croissance de la quantité d’énergie coïncide avec le ralentissement de la productivité du travail et contribue à l’érosion du compromis social fordiste. L’émergence du néolibéralisme se traduit par une restauration de la part du capital dans le partage de la valeur ajoutée et s’accompagne, d’une part, d’une utilisation de plus en plus intensive de l’énergie, la productivité de celle-ci se mettant à augmenter fortement dans les principaux pays à haut revenu ; d’autre part, par la délocalisation de l’utilisation de l’énergie.
La « décroissance » est-elle souhaitable ? Interview avec Eloi Laurent, économiste, conseiller scientifique à l'OFCE, maître de conférences à Sciences-Po et auteur de “ Sortir de la croissance : mode d’emploi “ (Les Liens qui Libérent, 2019).
En inscrivant la soutenabilité environnementale dans la révision stratégique lancée début 2020 la Banque centrale européenne BCE a signalé qu elle prenait au sérieux les appels pour intégrer la politique monétaire dans la lutte contre le changement climatique et plus largement contre la crise écologique qui menace nos sociétés et …
Chercheuse au CNRS, Lauriane Mouysset s'attaque au défi de concilier économie et écologie pour concevoir un développement durable.
Pas si simple de faire un choix, lorsqu’il s’agit de penser en amont, à tous les avantages mais aussi aux conséquences qui vont en découler. Peut-être que la clé de tout choix se trouve sur les valeurs fondamentales, celles qui font nos sociétés.
Lauriane nous invite à réfléchir à la meilleure façon d’agir et de faire un bon choix face à la crise écologique.
The Trialogue is a podcast about combining historic ideas of the high-culture of the Inca and modern problems. The three authors each put their own perspectives of the topic and show insights into their actual view of economics.
The British historian, Adam Tooze, highlights how the climate crisis is not just an environmental or ecological problem but also a political economy challenge.
Sustainable Development has become dominant in policy debates in the last two decades. Standard models in neoclassical economics as taught in undergraduate classes fail to capture the complex relationships between the economy and the environment.
"Learn why cities are key in resolving global urbanization and sustainability challenges and how you can engineer tomorrow’s cities today."
"his course introduces the complex, but critical, concepts of sustainability and resilience and examines your impact on our environment."
Information and skills required to make more sustainable choices every day.
This course provides a simple introduction to problems that social scientists are working on (e.g. racial disparities, inequality and climate change) in a manner that does not require any prior background in Economics or Statistics.
This brief views the environment through diverse lenses – those of standard economics, institutional economics, political science, environmental science and ecology.
The Anthropology of Development and Globalization is a collection of readings that provides an unprecedented overview of this field that ranges from the field?s classical origins to today?s debates about the ?magic? of the free market.
"Thought provoking and fresh - this book challenges how we think about economics.”
Gillian Tett, Financial Times
For further information about recent publicity events and media coverage for Rethinking Capitalism please visit http://marianamazzucato.com/rethinking-capitalism/
Western capitalism is in crisis.
That’s why it is time, says renegade economist Kate Raworth, to revise our economic thinking for the 21st century. In Doughnut Economics, she sets out seven key ways to fundamentally reframe our understanding of what economics is and does.
Since the beginning of the twenty-first century, there has been an unprecedented move towards 'rethinking economics' due to the damages generated by the global financial crisis that burst in 2007-2008. Almost a decade after this crisis, policy is still unable to provide all citizens greater wellbeing or at least an encouraging economic future.
Une théorie économique qui a les limites physiques de la planète comme point de départ, ça existe ? L'économie écologique, une introduction à un courant de pensée alternatif en économique à lire.
Penser l'économie dans un monde fini, voilà le défi que s'est posé Herman Daly dans ce livre, "Economie stationnaire".
Environmental cost-benefit analysis was developed by economists in the belief that monetary valuation of the environmental repercussions of economic activity is essential if the "environment " stands any chance of being included in government and business decisions.
This book argues that mainstream economics, with its present methodological approach, is limited in its ability to analyze and develop adequate public policy to deal with environmental problems and sustainable development. Each chapter provides major insights into many of todays environmental problems such as global warming and sustainable growth.
Thinking in Systems, is a concise and crucial book offering insight for problem solving on scales ranging from the personal to the global. Edited by the Sustainability Institute's Diana Wright, this essential primer brings systems thinking out of the realm of computers and equations and into the tangible world, showing readers how to develop the systems-thinking skills that thought leaders across the globe consider critical for 21st-century life.
Nature and communities in the global south is being overwhelmed at a shocking rate. In many places this is due to ventures such as large-scale open-pit mining, oil extraction in tropical areas, and the spread of monocultures. These and other such forms of natural resource appropriation are usually known as extractivisms.
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