Dirk Bezemer exemplary presents pattern of the U.S. economy before the 2007 economic crisis and explains how due to those pattern the crisis could have been, unless not precisely predicted, yet anticipated.
This is an online panel and discussion on the ongoing and potential gendered impacts of COVID-19 organized by the International Association of Feminist Economics (IAFFE).
In dieser Folge gibt Ulrike Herrmann, Wirtschaftsjournalistin und Publizistin (taz) einen Impulsvortrag mit Fokus auf die aktuell beschlossenen Maßnahmen, Haushaltsentwicklung und Staatsverschuldung in Zeiten der Krise.
Paul Mason presents the main arguments of his book PostCapitalism. First, he argues that capitalism runs out of its capability to adapt to crises and second states that information technology challenges the capitalist system. In a nutshell, he argues that a society which fully exploits information technologies can't include concepts such as intellectual property, free market or private ownership. This has far-reaching consequences for the organisation of wages and work. The talk stops at minute 37.30.
En trente ans, la finance est devenue toute-puissante. Pas un jour sans connaître les mouvements du FTSE ou du NASDAQ, pas une semaine sans analyse du change, pas un mois sans fermeture d’usine, pas un an sans inquiétude sur la dette publique, pas une décennie sans une crise financière. Le bilan macroéconomique de nos économies occidentales est peu glorieux : une croissance molle, des investissements atones, un chômage endémique, des inégalités croissantes. Le constat est sans appel : les politiques libérales ont déréglementé la finance, et la banque, qui accompagnait autrefois l’industrie dans ses investissements à long terme, lui fait aujourd’hui obstacle. La créativité des financiers s’est substituée à celle des entrepreneurs. Il est urgent de remettre la finance à sa place : ce n’est pas à l’économie d’obéir à la finance, mais à la finance de servir l’économie. Un ouvrage qui décrypte trente ans de financiarisation de l’économie, propose un examen détaillé de l’articulation entreprise/ finance et avance des propositions – analysées et commentées par Michel Aglietta – pour mieux penser l’économie réelle.
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